samedi 12 octobre 2013

UN PROGRAMME POUR LE PRESIDENT DE LA REPUBLIQUE

LE PROGRAMME DU FRONT NATIONAL:






















A REVOIR
Mettre une taxe sur les importations ne servira à rien sinon à se faire taxer par les autres pays nos exportations qui ne seront plus concurrentielles. C'est surtout à ne pas faire.
Est ce que la concurrence des émergents est déloyale?
Pas vraiment. Pourquoi ? Si nos produits ne sont pas compétitifs au niveau des prix n'est ce pas parce que l'Etat, les politiciens,imposent les sociétés, les bénéfices au taux de 33% qui va passer à 38%. Cet impôt est en réalité un impôt sur le revenu qui touche les salariés et les actionnaires et qui empêche les augmentations de salaires. N'est ce pas parce que les entreprises paient la contribution économique territoriale qui  s'ajoute à l'IS et qui n'est rien d'autre qu'un impôt sur la production, sur le revenu que paient les salariés et les actionnaires.
Par contre les charges sociales patronales sont en réalité des charges salariales car déduites du salaire. Le salarié paye les charges sociales salariales et patronales sur son salaire. Si demain on supprimait les charges patronales, il faudrait augmenter le salaire du montant de cette suppression et non pas baisser les prix de vente des  produits comme le veulent ceux qui sont partisans d'une TVA sociale.
Il n'est donc pas nécessaire de créer une taxe sur les importations puisque cela se fait déjà quand on rajoute la TVA sur le prix du produit importé. Il faut aussi savoir que sur les prix des produits exportés on retire la TVA . Il convient donc d'augmenter les taux de TVA mais par contre de supprimer tous les autres impôts nationaux et locaux qui sont des impôts sur la production nocifs à l'activité économique.
Il est bon de savoir que la TVA qui est aussi en réalité un impôt sur le revenu est un impôt neutre pour l'économie ( ni nocif, ni bénéfique)

Quels avantages pour notre économie ?

La suppression des impôts va accroître le revenu des ménages. Ce surplus va se partager entre investissement pour ( environ 16% à 20%) et consommation (pour environ 80 à 84%) ce qui va entraîner une accélération et une multiplication des transactions  ce qui libérera la croissance et accroîtra les recettes fiscales de l'Etat avec la seule TVA. Même si cela augmente les importations, l'Etat encaissera la TVA et le pouvoir d'achat en augmentant la demande incitera les entreprises à augmenter leurs productions et à diminuer leurs prix
Il n'est donc pas nécessaire de supprimer cette concurrence des autres pays mais la maintenir absolument.

Taxer la spéculation n'apportera rien car les transactions ne se feront plus chez nous, de plus la spéculation rééquilibre les marchés.
Taxer la revente des actions c'est pénaliser l'investissement des entreprises sur le second marché ( la bourse) et tarir le premier marché ( introduction en bourse). L'investissement se déplacera à l'étranger ou l'argent ne se placera plus en bourse mais sur d'autres placements financiers peu productifs économiquement. Ne pas oublier que la seule richesse d'un pays c'est sa production c'est à dire ses entreprises.
Il n'est donc pas nécessaire de taxer la spéculation sinon la croissance sera cassée et le chômage perdurera. La moralité ne fait pas toujours bon ménage avec les affaires économiques. Il faut au contraire supprimer la taxation des plus values sur les valeurs mobilières (actions).
Des entreprises françaises sont en situation de faillites alors que rachetées par des sociétés étrangères, elles continuent à survivre et même à prospérer. Comment expliquer cela? Tout simplement par la fiscalité française.

samedi 27 avril 2013

vendredi 13 juillet 2012

F. Hollande, le président de la République française, avait promis au lieu d'une politique d'austérité une politique de relance de la croissance.
Il n'y a pas plusieurs solutions pour relancer une croissance économique. Il n'y en a qu'une baisser les impôts et pour cela réduire les dépenses publiques. Ce n'est pas ce qui est envisagé maintenant que les socialistes du PS se découvrent enfin. Il n'y aura qu'une augmentation des impôts mais surtout pas une baisse ce qui va empêcher une relance de l'économie et corrélativement et mécaniquement  une diminution des recettes fiscales "trop d'impôt tue l'impôt".
Pour rendre cette hausse d'impots acceptable on la présente sous l'étiquette de justice sociale, prendre aux riches, aux nantis pour aider les classes populaires et moyennes.
La fiscalisation des heures supplementaires va surtout nuire aux classes populaires tout comme l'augmentation du forfait social sur la participation et l'intéressement de 8 à 20%, celui de l'alignement de l'imposition des revenus de l'épargne sur celui du travail et la taxe de 3% sur les dividendes ainsi que la hausse de la CSG  vont nuire aux classes moyennes et à l'emploi sans oublier la fameuse taxe financière.

Budget 2013:
Recettes prévues :             312,7 milliards d'euros